samedi 27 octobre 2012

素晴しいのモヴイ : Kamen Rider X Super Sentai Super Hero Taisen




 Je n'avais pas eu le temps, avant ce soir, de regarder le dernier film Kamen Rider X Super Sentai, le Super Hero Taisen (仮面ライダーxスーパー戦隊スーパーヒロ大戦) qui était sorti au début de l'année sur les écrans japonais. Il n'est sorti que récemment en DVD, donc le reste du monde n'a pu en profiter que depuis peu. 
  J'ai bien fait d'attendre, du coup, car j'ai pu le regarder avec les sous-titres de l'équipe américaine de sous-titrage OVER-TIME. J'aime beaucoup leur travail, toujours complet, et leur approche aux lecteurs/spectateurs. Ils expliquent souvent les problèmes que le japonais leur a posé lors de la traduction. Quoiqu'il en soit, ils se sont dépêchés de nous pondre une traduction anglophone de Super Hero Taisen, qui n'est vraiment pas mal si l'on ne regarde que pour les sous-titres et pas les effets (sinon, j'aurais attendu celle de TV-Nihon ou plus hypothétiquement Heroshock).



  Je dois avouer que ce film m'a fait l'effet d'une claque. Je m'attendais au film de la nouvelle période Heisei habituel, du genre : je suis un super héros qui prend une super nouvelle forme et je vais poutrer le nouveau hyper méchant du film, en insistant bien sur les valeurs de la justice, de l'amitié et de l'humanité.


  
  Au delà de ce schéma habituel, les scénaristes ont pas mal développé le caractère des personnages principaux. On connaissait déjà le Joe (GokaiBlue) à l'histoire sombre, aux réactions bien manly, une force avant d'être une tête. Dans ce film, Joe nous est présenté comme un personnage à l'amitié sensible, qui ne comprend pas que Marvelous (GokaiRed) puisse trahir ainsi le sens de la justice, que les Gokaigers ont défendu pendant une cinquantaine d'épisodes. C'est pareil pour Don (GokaiGreen), un peu cucul dans la série, qui devient la tête pensante du restant des Gokaigers, qui sait prendre les bonnes décisions et garder la tête sur les épaules. Du côté Rider, Kaitou Daiki n'était que l'égal de lui-même, un voleur inné, un camarade téméraire et protecteur, pas de grand changement à ce niveau. De même que Pour Eiji, Tsukasa, Hina, et le Kamen Rider Club. L'emphase a vraiment été mise sur les personnages de Gokaiger. 




  Niveau histoire, ce qui m'intéresse le plus, c'était tout simplement un chef d’œuvre. Bon, bien sûr, un chef d’œuvre du Tokusatsu si l'on considère le septième art dans son entier. Je veux dire par là que le film est un habile mélange d'un film Sentai, mais avec un trait très prononcé du Kamen Rider. L'histoire est sombre, les Escadrons et les Riders Masqués doivent se battre pour leur propre survie contre Daishocker et Daizangyack, Tsukasa et Marvelous. La plupart voit leurs amis "mourir" devant leurs yeux, et les acteurs rendent énormément bien la tristesse par leurs expressions et leur jeu. Ce sont des choses que nous n'aurions probablement pas pu avoir si le film avait été tourné au début de la série Gokaiger.
  Les acteurs ont de l'assurance, pas comme ceux de Gobusters ou de Fourze, et je pense que c'est une des raisons pour laquelle ces derniers ne figurent pas vraiment comme "héros de premier plan" dans le film. J'ai retrouvé mon Decade et mon Diend, comme je les avais quittés en 2009, presque inchangés. Ça m'a fait plaisir, même si maintenant que j'ai vu les Kamen Rider de la période Heisei (à part Kabuto et Hibiki, que je n'ai vus qu'à moitié), je me rends compte que cette série n'a pas été très bien réalisée. Ce côté nostalgique m'a vraiment séduite.




  Un des principaux défauts du film, et ce sera le seul dont je parlerai, c'est le manque de rythme dans l'avant-combat final. Sérieusement, j'ai vraiment eu l'impression qu'ils ne devaient pas abîmer leurs costumes. Ça ne se tapait pas vraiment dessus. Bien sûr, ils ne le font pas dans la série, mais c'était juste extrêmement obvious dans le film. De ce fait, tout le combat manquait d'une certaine rapidité, d'une fluidité qu'on retrouve pourtant habituellement dans les séries. Manque d'artifices ? De jeux de lumière ? En tout cas, je trouve ça dommage d'avoir passé tout le budget du film dans les images de synthèse bancales (certains plans me font penser à du Gaoranger, et pourtant ça date !) au lieu des artifices. 



  Cependant, la bande-son et le générique de fin rattrape ce petit défaut. J'avais beaucoup aimé la musique de Kamen Rider Decade, et c'est d'ailleurs pour son générique d'ouverture (composé et chanté par Gackt) que j'avais commencé à regarder la série. Le film possède une musique assez proche de celle de Decade, mais retravaillée pour coller à celle de Gokaiger. Ça donne un effet assez, comment dire, sérieux, tout comme la série Decade, mais nouveau. Ce qu'il fallait pour me combler !




  J'espère ne vous avoir pas trop spoilés mais cependant vous avoir donné envie de regarder ce merveilleux film ! Disponible sur tous les sites que j'ai cités au début de l'article !


vendredi 19 octobre 2012

Hanz Zimmer ou la réutilisation de thème dans sa perfection la plus ultime

  S'il y a bien quelque chose dont je ne peux me passer, en tout circonstance, c'est bien la musique. Je vis, je respire la musique. Nulle part sans mon baladeur et mon casque. Nulle part sans ma collection sonore du moment. La musique rythme ma vie et ma vie est rythmée par la cadence de ces pistes. Je ressens la musique de tout mon être, je ne peux vivre sans car elle est partie intégrante de ma vie. Elle m'aide à exprimer mes émotions, à placer des mots sur ce que je ressens. C'est un exercice que je fais depuis le lycée, où j'ai réappris à exprimer ce que je ressentais et pas à le garder, comme dans les autres matières. La musique, c'est mon expression personnelle, même si je ne suis pas capable de l'écrire - à mon grand regret.

  Il y a des titres, comme ça, que j'ai depuis des années sur ma PSP. Comme la plupart des génériques composés par Danny Elfman. Je possède également plusieurs titres plus ou moins classiques, des génériques surtout, de film ou d'animes. J'aime particulièrement les génériques composés par M. Au delà d'aimer sa voix, je suis surtout attirée par la poétique de ses chansons (Les triplettes de Belleville, La Seine).


  Venons-en aux faits. J'ai regardé il y a un mois le deuxième volet de Sherlock Holmes, réalisé par Guy Ritchie. Le premier m'avait absolument ravie, tant au niveau musical qu'au niveau scénaristique. Mais là, ça a été une révélation. Hans Zimmer a repris le thème du premier film, certes, mais l'a transformé en une magnifique bande originale finalement très originale, qui colle exactement à tous les moments du film.

  Le thème est aussi sombre que dans le premier. Les premières pistes sont parfois très violentes  alors que les intermèdes sont très calmes. Cependant, ces intermèdes interviennent à des moments où la tension monte pour les personnages. Je parle bien entendu du "tic-tac" symbolisant la bombe de la première partie du film, qui nous accompagne jusqu'à la sixième piste. D'ailleurs, cette piste marque vraiment la scission entre deux parties du film. Avec Romanian Wind, on sent qu'on entre dans une autre phase de l'histoire, voire le dénouement. En fait, la musique correspond tout à fait au scénario et contribue même à visualiser ce scénario. Et c'est ça pour moi le noyau dur, la fonction principale de la musique de film.
  La musique doit créer l'ambiance, par son occurrence ou son absence. Arriver à suggérer plus que l'image grâce à la culture commune des spectateurs. C'est ça que Hans Zimmer a réussi à faire. Prenons par exemple Two mules for Sister Sara, la piste qui passe sur la scène où Sherlock, Watson et leurs compagnons parcourent la forêt à cheval. Le rythme suggère le galop, le trot, en bref le rythme du cheval mais les flutes rajoutent un élément assez... inhabituel qui se traduit à l'écran par l'absence de contrôle de Sherlock sur son cheval. On s'attendrait à une piste "linéaire" et "normale", typée western (en tout cas, c'est ce à quoi cette piste m'a faite penser), mais on a des trilles qui sortent de nulle part, improbables, qui interrogent le spectateur : mais pourquoi a-t-on des éléments musicaux aussi incontrôlés sur un thème destiné à un homme qui est censé pouvoir tout contrôler ?


  Finalement, je veux vous parler du générique.  Le thème commence par un petit rappel, au clavecin, du thème principal, puis une reprise un poil différente au violon, plus soutenue. À première écoute, on penserait qu'il s'agit exactement du même morceau que pour le premier volet. Pour rappel, le premier, Discombobulate, traduisait exactement la notion de la surprise, de la confusion gênante avec ses intervales rapprochées, mais paraissait après plusieurs écoutes trop lent. Dans la seconde version, qui est beaucoup moins utilisée que dans le premier film, la ponctuation du rythme est différence. Au lieu d'avoir comme un 1/4, on a plutôt un 2/4. Je veux dire par là que le rythme tombe deux fois plus souvent, et de ce fait appuie chaque temps accentué. Il y a là un effet de régularité qui rejoint un peu le mouvement de l'horloge qu'on entend dans une grande partie de la bande-originale.



 Pour moi, Hanz Zimmer a surmonté toutes les difficultés qu'il avait laissée dans la première bande-originale. Celle-ci "coule de source" : je vois le film se dérouler devant mes yeux quand j'entends une piste. C'est vraiment ce qui m'a donné envie d'acheter le cd : retrouver l'ambiance du film par la musique. Et c'est ce qui m'importe quand je regarde un film, c'est tout d'abord sa musique, car pour moi, un film perd une grande partie de son charme si la musique ne correspond pas à son déroulement. Mais je ne compte pas les bandes originales asiatiques dans cette optique, cependant, car la bande-son peut suggérer bien autre chose chez eux que l'accompagnement du film. 

 
À bientôt pour un nouvel article !

mardi 2 octobre 2012

Book's meme, selon Hanako

J'avoue, j'ai commencé un blog alors que j'ai à peine le temps d'aller sur internet. Mais j'ai quand même commencé 4 articles !
La masse de travail cette année est considérable, je ne sais pas si j'aurais le temps d'écrire de façon régulière...
Dans tous les cas, voici un book's meme que j'ai trouvé sur le blog d'Hanako, il y a quelque temps. Je vous souhaite une bonne lecture, et puisse cet article vous en apprendre un peu plus sur moi et mes habitudes !


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1~ Pages cornées ou marque page ?
Je ne supporte pas d'abîmer un livre. Je trouve donc n'importe quoi pour faire un marque page. Le plus souvent, c'est une photo ou une carte postale. Il m'est arrivé plusieurs fois d'utiliser un ticket de caisse. Après tout, je vois beaucoup de personnes dans le métro utiliser des tickets de métro ! Je n'ai qu'un réel marque page, affublé d'un dessin représentant le guitariste de Dir En Grey : Die. Comme je lui environ trois livres en même temps, je suis obligée de parer à toute éventualité de manque de marque page. Cela dit, j'ai trouvé de très beaux spécimens lors de mes péripéties swapesques. Idées à creuser.

2~ Vous a-t-on déjà offert un livre ?
On ne m'a jamais vraiment offert de livre. Mes parents n'ont pas le même rapport au livre que moi, et nous avons eu quelques périodes où nous privilégions plus la nourriture que les choses futiles comme l'écriture et la lecture. Ce qui explique sûrement le rapport spécial qui me lie au livre. Le peu de livre qu'on m'a offert sont de belles éditions de contes pour enfants ou de beaux livres. Je crois que mon Petit Prince est toujours couverte, pour éviter que je l'abîme.

3~ Lisez-vous dans votre bain ?
Je lisais dans mon bain quand j'avais une baignoire. Un bain excessivement chaud et un bouquin à la main. Ah ! que cette période me manque !

4~ Avez-vous déjà pensé à écrire un livre ?
Plusieurs fois, mais je suis très critique de mes propres écrits. Je veux écrire à la perfection, mais j'en suis très loin. Donc je ne publierai pas. J'ai tout de même, parfois, un éclair de génie. Je suis particulièrement fière du premier chapitre de ma dernière fanfiction. En fait, je suis douée pour commencer un texte, mais pas pour le finir...

5~ Que pensez-vous de séries de livres en plusieurs tomes ?
Ça peut-être sympathique si le style de l'auteur se prête à ce genre de chose, s'il y a un enjeu littéraire. J'avoue que je n'aurais jamais imaginé le Seigneur des Anneaux n'être découpé autrement qu'en six tomes (même s'ils n'ont été publiés qu'en 3). On va dire que ça profite à tout livre sorti en série, mais ça peut aussi causer leur perte s'il n'y pas de travail littéraire derrière (en gros, si c'est un bouquin qui traine, aucun intérêt).

6~ Avez-vous un livre favori ?
C'est difficile, j'aime beaucoup tous les livres que j'ai choisi hors cadre études. Je pense que mon préféré, c'est Armand The Vampire, d'Anne Rice. A chaque fois que j'ai lu un tome des Chroniques Vampiriques, j'ai adoré, mais celui-ci a vraiment été une révélation. Je pense que je me suis rapprochée du personnage d'Armand, ce jeune homme, coincé entre deux âges, au regard plus vieux qu'il n'en a l'air. Un peu moi, en quelques sortes.


7~ Aimez-vous relire un livre ?
J'aime beaucoup relire un livre après l'avoir étudié, ou après quelques années de repos. D'une part, parce qu'on apprécie toujours un livre qu'on a choisi de lire soi-même. D'autre part, parce je ne mémorise pas tout ce que je lis. Beaucoup de détails passent à la trappe dans ces cas-là. C'est un problème que je n'ai pas lorsque je regarde un film : j'ai tendance à réfléchir pour trouver la fin dès les premiers signes de dénouement du scénario (et me coller une migraine). C'est peut-être pour ça que j'aime les livres...

8~ Rencontrer ou ne pas rencontrer vos auteurs favoris ?
J'ai tendance à pleurer quand je me retrouve dans une situation émotionnellement trop forte ou trop dure. Ce ne sera pas bon pour l'auteur si je le rencontre : il aura l'impression d'être la cause de mes malheurs, alors que je suis simplement trop heureuse d'être là (si d'aucun se souvient de la rencontre avec Közi). De plus, j'ai beaucoup de difficulté à parler (même si ça ne se voit pas la plupart du temps) avec les personnes que j'admire, donc je m'emmêlerai les pinceaux à coup sûr !


9~ Aimez-vous parler de vos lectures ?
Non, je n'aime pas trop. Du moins pas à l'oral. Comme je l'ai dit, j'ai des difficultés à m'exprimer quand je parle avec quelqu'un que j'estime plus que moi, ou que j'admire. De plus, mes lectures sont très personnelles, et je suis consciente que la plupart des gens ne partagent pas les même émotions que moi lors de leur lectures. Enfin, je pense que c'est surtout par honte que je n'en parle pas. Je ne possède pas la connaissance d'Hanako, par exemple, qui a fait un superbe meme sur les livres. J'ai lu des auteurs, comme ça, mais je n'ai jamais vraiment pris plaisir à lire de grands auteurs comme Kafka. Je pense que je suis toujours réticente quant à la littérature classique à cause de mes études. C'est un genre que j'associe trop à la contrainte des études. Un jour, peut-être ?

10~ Comment choisissez-vous un livre ?
Je regarde d'abord la première de couverture, puis la quatrième. La plupart du temps, je choisis mes livres par rapport aux on-dit de mes amis. Par exemple, une de mes connaissances a fait son mémoire sur la cybernétique dans la littérature d'Isaac Asimov, j'ai donc choisi un livre du même auteur pour le découvrir.

11~ Une lecture honteuse ?
Je lis en grande partie des livres pour enfants ou pour pré-adolescents.

12~ Votre place favorite pour lire ?
C'est mon lit - à défaut de ma baignoire inexistante. C'est l'endroit le plus confortable que j'ai trouvé. Vu que ma sciatique me fait souffrir au bout d'une heure à peine, mieux vaut ne pas trop bouger et rester allongée.

13~ Votre livre idéal, c'est...
Un livre qui retrace une aventure, un voyage. Un livre exotique. Un deuxième Seigneur des Anneaux, en quelques sortes.

14~ Lisez-vous par dessus les épaules des autres ?
Je ne le fais que dans le métro, pour lire les nouvelles. Sinon, je n'aime pas du tout pénétrer dans l'espace d'autrui par curiosité. Chacun ses lectures, ses pensées, et qu'on ne m'embête surtout pas dans le métro.

15~ Télévision, jeux-vidéo ou livres ?
Jeux-vidéo et livres. Et je marche par période. Une période sera consacrée aux jeux-vidéo, l'autre au livres. En ce moment, c'est plutôt livres (et ce satané Rushdie que je veux finir avant d'attaquer mes lectures universitaires). La télévision, je la regarde pour ses documentaires (je suis accro aux documentaires animaliers) et pour les informations, parfois.

16~ Lisez-vous en mangeant ?
J'ai toujours été habituée à regarder la télé en mangeant, et j'étais obligée de poser mon livre, de parler si on me posait une question. Le seul moment où je pouvais voir mes deux parents était le dîner, donc un moment où nous devions à la fois être présents et parler de sujets familiaux si besoin. Cela dit, je relis souvent mes cours en mangeant, le soir, si je n'ai pas eu le temps dans la journée. Lire en mangeant, oui, mais seulement par manque de temps !

17~ Lisez-vous en silence ou avec de la musique ?
Je fais tout - absolument tout - en musique. La musique est une composante essentielle de ma vie. Elle ne peut ne pas exister dans n'importe quel moment de la journée. En ce moment, par exemple, j'écris sur une piste de la bande originale de Matrix Revolution. Donc oui, je lis en musique.

18~ Et la lecture sur livre électronique ?
Je n'ai pas encore essayé. Je lis pas mal sur ma psp, notamment des fanfictions quand j'arrive à me connecter sur internet. Je pense que j'arriverais sans mal à me faire à l'idée de lire sur un livre électronique, mais quant à n'utiliser que cette méthode... J'aime trop la sensation du papier sur mes doigts pour favoriser l'électronique !

19~ Le livre tombe : le finissez-vous ou non ? 
Non, j'attends le lendemain pour finir. Le sommeil est quelque chose de très important chez moi (et chez n'importe quel être humain), et il ne doit pas être raccourci. De plus, de mon sommeil dépend mon humeur, alors autant dormir comme il se doit et ne pas envoyer valdinguer tout le monde après !

20~ Imaginez que vous vous retrouvez sur une île déserte et que vous ne devez prendre que trois livres, lesquels choisissez-vous ?
1) Un kindle (yeaaaaaaah ! Merci Gwendoline !)
2) Le Seigneur des Anneaux, de J.R.R. Tolkien, pour le voyage et l'apprentissage
3) une encyclopédie anglaise : comme ça, je pourrais apprendre en tout tranquillité.