mercredi 26 novembre 2014

L'intonation juste et la musique électronique - portrait d'une écoute acharnée

  Je dois avoir quelque chose comme 280 chansons sur mon baladeur, les trois quarts étant de la musique de film. C'est une véritable passion chez moi. Je n'aime pas Mozart, mais je voue une admiration particulière à certains compositeurs de B.O.  

  Ma passion pour la musique de film m'emmène parfois sur des chemins sinueux. Par exemple, après avoir vu le premier film de Tron, je me suis penchée sur le cas de Wendy Carlos. Ce qui m'a amené à regarder Clockwork Orange, puis The Shining, et enfin découvrir tous ces travaux sur l'intonation juste. 

  Ce que j'écoute, donc, la plupart du temps :

Oui, vous pouvez me brûler maintenant.


  La musique électronique des années 50, c'est mon dada. Même si je suis loin de m'y connaître vraiment. Reproduire un univers sonore avec seulement des sons qui n'ont rien de naturel, je trouve ça magique ! 

  Écoutez donc Beauty in the Beast de Wendy Carlos pour vous faire une idée. 

  Cet univers, c'est magique... C'est l'homme qui tente de maîtriser la nature... C'est... Je n'ai aucun mot pour décrire la sensation que cette chanson me procure. J'ai juste l'impression d'être transportée, d'entrer dans un monde totalement détaché de celui qui m'entoure. C'est une des chansons qui me fait le plus vivre la musique. Je l'écoute souvent dans le métro, surtout dans les vieilles lignes, quand je m'imagine tout ce qui se trame en dessous du train, en dessous des rails, en dessous de nous. Un autre monde...

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